Titre : |
Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Katherine Pancol (1954-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Librairie générale française |
Année de publication : |
2011 |
Collection : |
Le livre de poche num. 32281 |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-16195-0 |
Tags : |
saga serie roman d'amour saga familiale chick lit amitié femmes tranches de vie société histoires de vie adolescence amour famille feel good book france littérature française 21ème siècle contemporain roman contemporain |
Résumé : |
Souvent la vie s’amuse.Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi… |
Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi [texte imprimé] / Katherine Pancol (1954-....), Auteur . - Paris : Librairie générale française, 2011. - ( Le livre de poche; 32281) . ISBN : 978-2-253-16195-0
Tags : |
saga serie roman d'amour saga familiale chick lit amitié femmes tranches de vie société histoires de vie adolescence amour famille feel good book france littérature française 21ème siècle contemporain roman contemporain |
Résumé : |
Souvent la vie s’amuse.Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi… |
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