Titre : |
La machine à explorer le temps |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Herbert George Wells (1866-1946), Auteur |
Editeur : |
[Paris] : Gallimard |
Année de publication : |
2001 |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-042077-3 |
Note générale : |
Science-fiction |
Mots-clés : |
aventure roman anticipation roman de science-fiction dystopie fantastique classique littérature jeunesse jeunesse adapté au cinéma futur littérature voyage dans le temps science-fiction voyages science littérature anglaise littérature britannique anglais 19ème siècle |
Résumé : |
«Je vis des arbres croître et changer comme des bouffées de vapeur ; tantôt roux, tantôt verts ; ils croissaient, s'étendaient, se brisaient et disparaissaient. Je vis d'immenses édifices s'élever, vagues et splendides, et passer comme des rêves. Toute la surface de la terre semblait changée - ondoyant et s'évanouissant sous mes yeux. Les petites aiguilles, sur les cadrans qui enregistraient ma vitesse, couraient de plus en plus vite. Bientôt je remarquai que le cercle lumineux du soleil montait et descendait, d'un solstice à l'autre, en moins d'une minute, et que par conséquent j'allais à une vitesse de plus d'une année par minute ; et de minute en minute la neige blanche apparaissait sur le monde et s'évanouissait pour être suivie par la verdure brillante et courte du printemps.» |
La machine à explorer le temps [texte imprimé] / Herbert George Wells (1866-1946), Auteur . - [Paris] : Gallimard, 2001. ISBN : 978-2-07-042077-3 Science-fiction
Mots-clés : |
aventure roman anticipation roman de science-fiction dystopie fantastique classique littérature jeunesse jeunesse adapté au cinéma futur littérature voyage dans le temps science-fiction voyages science littérature anglaise littérature britannique anglais 19ème siècle |
Résumé : |
«Je vis des arbres croître et changer comme des bouffées de vapeur ; tantôt roux, tantôt verts ; ils croissaient, s'étendaient, se brisaient et disparaissaient. Je vis d'immenses édifices s'élever, vagues et splendides, et passer comme des rêves. Toute la surface de la terre semblait changée - ondoyant et s'évanouissant sous mes yeux. Les petites aiguilles, sur les cadrans qui enregistraient ma vitesse, couraient de plus en plus vite. Bientôt je remarquai que le cercle lumineux du soleil montait et descendait, d'un solstice à l'autre, en moins d'une minute, et que par conséquent j'allais à une vitesse de plus d'une année par minute ; et de minute en minute la neige blanche apparaissait sur le monde et s'évanouissait pour être suivie par la verdure brillante et courte du printemps.» |
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